Le C.N.R.D., créé en 1961, est un concours de l’Éducation nationale qui a pour but d’encourager la transmission aux jeunes générations de la mémoire et des travaux de la recherche concernant la Seconde Guerre mondiale.
Le jury académique de la session 2024 vient de décerner le 1er prix à notre établissement, et nous sommes sélectionnés pour le volet national du concours qui aura lieu en septembre à Paris.
Nous félicitons la motivation et l’engagement des élèves de 3e qui ont été de cette aventure : Morgane, Isis, Nathan, Océane, Lucas, Côme, Théa, Lisandro et Maxence. Leur investissement a été soutenu et assidu. Ils ont participé tous les jeudis, de septembre à fin mars, à l’Atelier C.N.R.D., et sont également venus travailler plusieurs mercredi après-midi, notamment pour étudier les archives du diocèse de Marseille. Le projet s’est concrétisé sous la forme d’un film intitulé « 4 grains de sable dans l’engrenage des déportations à Marseille ».
Nous remercions les professeurs et élèves de Terminale et élèves de l’école primaire qui ont apporté un renfort en jouant également dans le film : Mahedine Zemam (maquisard et milicien), Chadi Hamadi (maquisard et milicien), Lucas Sciapapietra (micilien), Kaïs Cherrad (milicien), Guillaume Loiseau (policier), Alexandre Zay (maquisard), José et Alexis (enfants cachés).
Nous remercions chaleureusement Anne Alix, réalisatrice marseillaise, qui a effectué avec une belle justesse les prises de vues et le montage. Merci pour la générosité de la transmission de son savoir, et sa disponibilité pour les phases de préparation des tournages.
Nous remercions également Raphaëlle Bellon, Responsable des activités pédagogiques de la Fondation de la Résistance (Paris) d’être venue dans notre établissement pour animer un atelier sur la biographie en histoire, en faisant notamment découvrir aux élèves la richesse des ressources en ligne sur la période de la Seconde Guerre mondiale et la nécessité de croiser les sources.
Nous remercions Natacha Tourseiller, vice-chancellière et archiviste du diocèse de Marseille, pour la qualité de son accueil aux archives du diocèse d’Aix-Marseille et son guidage efficace dans les archives de Mgr Jean Delay, évêque de Marseille pendant la Seconde Guerre mondiale.
Nous remercions Elise Cohen de l’Association Fonds de Mémoire d’Auschwitz pour la transmission de précieux documents photographiques concernant deux enfants cachés dont le parcours est retracé dans le film.
Nous remercions toutes les personnes qui ont prêté gracieusement les objets et les costumes indispensables à la bonne réalisation du film : Max Maubert et Michel de l’Auto moto rétro club d’Allauch qui ont prêté une traction-avant et se sont rendu disponible toute une après-midi de tournage. Nous remercions Didier Rocca, Mgr Jean-Pierre Ellul et les prêtres de la paroisse Saint-Charles pour le prêt d’une soutane et des aubes. Nous remercions pour sa grande disponibilité et générosité Pierre Médioni (Le guardian du passé – Aubagne) qui a prêté les armes d’époque démilitarisées, les costumes des maquisards et des miliciens. Nous remercions également la Compagnie de théâtre de la mezzanine (Accès Décor, Marseille, Belsunce) et les Studios de Provence (Martigues) pour le prêt d’autres costumes. Merci aux parents qui se sont également rendu disponible lors des tournages !
Nous tenons à remercier également La chapellerie (Marseille, Cours Saint-Louis) d’avoir ouvert son magasin à un tournage. Nous remercions de même l’hospitalité d’Ali et Houria Chourar, gérants de l’Hôtel Relax (rue Corneille, Marseille). Le prêt d’une pièce a rendu possible le stockage et les changements de costumes pour le tournage sur le parvis de l’Opéra.
Nous remercions Aurore Rusconi qui a porté avec succès notre demande d’autorisation de tournage auprès de la Ville de Marseille.
Merci à Sarah Clavé, formatrice académique référente du Concours, pour sa disponibilité et Anne-Sophie Denou pour la bonne réception de notre travail.
Enfin nous remercions chaleureusement Albert Barbouth (témoin rescapé de la Shoah) qui est venu apporter son témoignage auprès de trois classes de 3e, le 18 avril dernier.
